Une nouvelle interpellation a été déposée hier au Grand Conseil vaudois par Philippe Germain.
Au cœur de ses préoccupations: la cohabitation avec le grand prédateur, mais surtout les moyens que le Canton pourrait déployer pour soutenir et, si besoin, indemniser les professionnels concernés. Le député PLR, qui est lui-même éleveur, espère ainsi trouver des solutions pour pacifier la situation. Le Conseil d’Etat a trois mois pour lui répondre.