Pour mémoire, à la suite de dénonciations déposées par une dizaine d’employés du home, le ministère public avait ouvert une instruction en 2014 à l’encontre de 4 prévenus pour des infractions contre l’intégrité corporelle et la liberté.
Si de graves dysfonctionnements ont été mis à jour, des infractions pénales n’ont toutefois pas pu être établies.